Agir

Le sport, c’est bon !
Se faire plaisir est un besoin profond, physiologique et psychologique, qu’il faut satisfaire pour se protéger du stress. Antoine le sait. C’est pour cela qu’il pratique de nombreux sports, régulièrement.
Anti-stress
Antoine le sait : l’exercice physique est un anti-stress puissant qui procure du bien-être physique. Pour lui, il répond au besoin de se défouler et de libérer son énergie physique, souvent contrainte dans son travail de bureau. Parfois Antoine fait reculer son stress autrement : il rit, se fait plaisir, fait jouer sa créativité : tout ce qui participe à son équilibre est utile pour réduire son stress.
Endorphines
Jogging, vélo, natation : Antoine est adepte de bon nombre de sports individuels. Quand vient l’hiver, il s’adonne aux balades en raquettes ou en ski de fond. Et quand il veut la jouer collectif, c’est vers le football, le rugby, le basket ou le handball qu’il se tourne. Toutes ses activités sportives libèrent dans son organisme des endomorphines (ou endorphines). Produites par le cerveau, elles ont une structure moléculaire proche des opiacés et procurent une sensation de plaisir physique puissant 30 à 45 minutes après un effort suffisamment intense et maintenu. Les effets bénéfiques sur le moral seraient maintenus entre 2 et 6 heures après la libération d’endorphines.
Endurance
Dans cette activité sportive, le cerveau joue un rôle-clé. Il ne récompense pas l’effort intense ou excessif mais plutôt un exercice physique d’au moins 30 minutes, en rythme confortable d’endurance. Le gain est maximum lorsque l’exercice fait travailler notre cœur entre 50 et 70 % de sa fréquence cardiaque de réserve. En fait, notre organisme nous pousse à faire très exactement ce qui est recommandé pour se maintenir en bonne santé !
Besoin de se libérer des tensions
Sur sa table de chevet, Antoine a toujours Réussir sans se détruire. Il adore cet ouvrage de Christophe Massin et Isabelle Sauvegrain qui explique à quel point la décharge physique est indispensable dans un monde moderne et policé, où nous nous sentons souvent comme en cage. Son passage préféré, où il se retrouve parfaitement, c’est celui-là :
« Nous aimerions bien parfois décrocher un coup de poing dans le plexus d’une personne qui nous exaspère, jeter notre ordinateur par la fenêtre, mais la raison et nos conditionnements sociaux nous l’interdisent ! Le corps se trouve tenaillé d’influx contradictoires entre une pulsion de mouvement puissante et une action requise minimum en termes d’efforts physiques. Les symptômes qu’ils déploient expriment ce décalage. Le corps souffre des tensions générées par l’énergie accumulée et réprimée. Cela explique pourquoi, fatigués par une journée de travail, nous allons retrouver du punch en faisant du sport. »